J'ai touvé ce texte d'un auteur inconnu sur un blog, mais... je ne me souviens plus lequel!
Comme il m'avait émue, je l'avais enregistré. Je suis allée le rechercher aujourd'hui car il me parle encore plus à présent...
C'est une mère, très âgée, qui parle à son enfant. Mais on peut transposer ses pensées à un père, une grand-mère ou autre...
Surtout quand cette personne ne peut plus parler........
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Le jour où tu trouveras que je suis devenue très vieille,
Essaie d’avoir un peu de patience envers moi
Et essaie surtout de me comprendre.
Essaie d’avoir un peu de patience envers moi
Et essaie surtout de me comprendre.
Si je me salis en mangeant…
Si j’ai des difficultés à m’habiller… sois patient !
Souviens-toi des heures que j’ai passées à t’apprendre
Toutes sortes de nouvelles choses quand tu étais juste un petit garçon.
Si j’ai des difficultés à m’habiller… sois patient !
Souviens-toi des heures que j’ai passées à t’apprendre
Toutes sortes de nouvelles choses quand tu étais juste un petit garçon.
Si je répète la même chose des dizaines de fois, ne m’interromps pas !
Écoute-moi !
Quand tu étais petit, tu voulais que je te lise la même histoire
Soir après soir, jusqu’à ce que tu t’endormes.
Écoute-moi !
Quand tu étais petit, tu voulais que je te lise la même histoire
Soir après soir, jusqu’à ce que tu t’endormes.
Si je ne me lave plus aussi souvent sous la douche,
Ne me réprimande pas et ne me dis pas que c’est une honte.
Souviens-toi combien de raisons je devais inventer
Pour te faire prendre un bain quand tu étais petit.
Ne me réprimande pas et ne me dis pas que c’est une honte.
Souviens-toi combien de raisons je devais inventer
Pour te faire prendre un bain quand tu étais petit.
En voyant mon ignorance vis-à-vis des nouvelles technologies,
Ne te moque pas de moi,
Laisse-moi plutôt le temps d’assimiler tout ça et de comprendre.
Ne te moque pas de moi,
Laisse-moi plutôt le temps d’assimiler tout ça et de comprendre.
Je t’ai appris tant de choses…
Bien manger… bien t’habiller… bien te présenter…
Comment affronter les problèmes de la vie…
Bien manger… bien t’habiller… bien te présenter…
Comment affronter les problèmes de la vie…
S’il m’arrive à l’occasion de manquer de mémoire ou de ne pouvoir suivre une conversation…
Laisse-moi le temps nécessaire pour me souvenir…
Et si je n’y parviens pas, ne deviens pas nerveux et arrogant…
Car le plus important pour moi,
C’est d’être avec toi et de pouvoir te parler.
Laisse-moi le temps nécessaire pour me souvenir…
Et si je n’y parviens pas, ne deviens pas nerveux et arrogant…
Car le plus important pour moi,
C’est d’être avec toi et de pouvoir te parler.
Si je refuse de manger, ne me force pas !
Je sais très bien quand j’ai faim et quand je n’ai pas faim.
Je sais très bien quand j’ai faim et quand je n’ai pas faim.
Quand mes pauvres jambes ne me permettent plus de me déplacer comme avant…
Tends-moi les bras comme je tenais tes petites mains pour t’apprendre à faire tes premiers pas.
Tends-moi les bras comme je tenais tes petites mains pour t’apprendre à faire tes premiers pas.
Et quand un jour, je te dirai que je ne veux plus vivre…
Que je veuille mourir… ne te fâche pas…
Car un jour, tu comprendras aussi à ton tour !
Que je veuille mourir… ne te fâche pas…
Car un jour, tu comprendras aussi à ton tour !
Essaie de comprendre qu’à mon âge, on ne vit plus vraiment.
On survit simplement !
On survit simplement !
Un jour, tu comprendras que malgré toutes mes erreurs,
J’ai toujours voulu ce qui était le mieux pour toi.
J’ai toujours voulu ce qui était le mieux pour toi.
Tu ne dois pas te sentir triste, malheureux ou incompétent face à ma vieillesse et à mon état.
Tu dois rester près de moi, essayer de comprendre ce que je vis,
Faire de ton mieux comme je l’ai fait à ta naissance.
Tu dois rester près de moi, essayer de comprendre ce que je vis,
Faire de ton mieux comme je l’ai fait à ta naissance.
Aide-moi à marcher… aide-moi à terminer ma vie avec amour et patience.
La seule façon qu’il me reste pour t’en remercier,
C’est un sourire et beaucoup d’amour pour toi.
C’est un sourire et beaucoup d’amour pour toi.
Je t'aime… mon fils… ma fille !
(Auteur inconnu)
